Après avoir récité le Tashahhud, le Ta‘awwuz et la Sourate al-Fatiha, Sa Sainteté, Mirza Masroor Ahmad (a.b.a.), a déclaré qu’il va continuer à faire mention des expéditions menées à l’époque du Saint Prophète (s.a.w.).
Les machinations des hypocrites ont failli déclencher une guerre civile
Sa Sainteté (a.b.a.) a cité Hazrat Mirza Bashir Ahmad (r.a.) qui écrit :
« À l’issue de cette guerre, le Saint Prophète (s.a.w.) séjourna quelques jours à Muraisi. Cependant, un incident regrettable survint durant ce séjour, qui faillit déclencher une guerre civile entre les musulmans qui avaient une faible foi. Toutefois, la sagesse et l’influence magnétique du Saint Prophète (s.a.w.) préservèrent les musulmans des conséquences désastreuses de ce conflit. En effet, il advint qu’un serviteur de Hazrat Oumar (r.a.), nommé Jahjah, se rendit à la source principale de Muraisi pour puiser de l’eau. Par coïncidence, un autre homme, Sinan, appartenant aux Ansars, arriva également à la source. Ces deux individus étaient des ignorants. Une altercation s’ensuivit entre eux près de la source, et Jahjah frappa Sinan. Furieux, Sinan se mit à crier : « Ô peuple des Ansars, venez à mon secours, j’ai été agressé ! » Voyant que Sinan appelait les siens à l’aide, Jahjah fit de même : « Ô Muhajireens, venez ici, hâtez-vous ! » Lorsque les Ansars et les Muhajireens entendirent ces cris, une multitude d’entre eux se précipita vers la source, épées à la main. En peu de temps, une foule s’était rassemblée auprès du puits. Certains jeunes s’apprêtaient à s’attaquer, mais quelques sages et fidèles Muhajireens et Ansars arrivèrent à temps sur les lieux, séparèrent les gens et réconcilièrent les deux parties. Lorsque le Saint Prophète (s.a.w.) fut informé de l’incident, il déclara qu’il s’agissait d’un acte d’ignorance et exprima son mécontentement. Ainsi, l’affaire fut réglée. Cependant, lorsque la nouvelle de cet événement parvint aux oreilles de Abdullah ibn Ubayy ibn Sulul, également présent lors de cette Ghazwah, cet homme malfaisant chercha à raviver le trouble. Il incita fortement ses partisans contre le Saint Prophète (s.a.w.) et déclara : « Tout cela est de votre faute, c’est vous qui avez accordé refuge à ces étrangers et qui leur avez permis de vous gouverner. Vous avez encore l’opportunité de leur retirer votre soutien, et ils partiront d’eux-mêmes. » Finalement, cet homme détestable alla jusqu’à dire :
« Vous verrez bientôt, lorsque nous arriverons à Médine, la personne la plus honorée exilera la plus méprisable de la ville. »
À ce moment, un jeune homme sincère parmi les musulmans, nommé Zaid bin Arqam (r.a.), était présent. Entendant ces paroles à l’encontre du Saint Prophète (s.a.w.) de la bouche d’Abdullah, il fut troublé et transmit cette information au Saint Prophète (s.a.w.) par l’intermédiaire de son oncle paternel. Or, Hazrat Oumar (r.a.) se trouvait en compagnie du Saint Prophète (s.a.w.) et, en entendant ces paroles, il fut saisi de colère et d’indignation. Il supplia le Saint Prophète (s.a.w.) : « Ô Messager d’Allah ! Permettez-moi, je vais décapiter cet hypocrite et séditieux. » Le Saint Prophète (s.a.w.) répondit : « Laisse tomber, ô Oumar ! Voudrais-tu que les gens répandent la nouvelle que Muhammad tue son peuple ? » Le Saint Prophète (s.a.w.) convoqua ensuite Abdullah ibn Ubayy et ses partisans, et les interrogea au sujet de cette affaire. Ils jurèrent tous n’avoir rien dit de tel. Certains Ansars intercédèrent en disant : « Peut-être Zaid bin Arqam s’est-il trompé. » Le Saint Prophète (s.a.w.) finit par accepter la déclaration d’Abdullah ibn Ubayy et de ses partisans, et rejeta celle de Zaid (r.a.). Celui-ci fut profondément affligé, mais une révélation coranique confirma plus tard les paroles de Zaid (r.a.), et les hypocrites furent déclarés menteurs. Le Saint Prophète (s.a.w.) convoqua Abdullah ibn Ubayy et ses partisans pour leur annoncer cette confirmation et ordonna à Oumar (r.a.) de donner l’ordre de départ immédiat. Il était midi, heure à laquelle le Saint Prophète (s.a.w.) ne voyageait généralement pas, en raison du climat d’Arabie. Il faisait une chaleur intense et il était extrêmement difficile de voyager à ce moment-là. Cependant, compte tenu des circonstances présentes, le Saint Prophète (s.a.w.) jugea préférable de partir immédiatement. Par conséquent, sur son ordre, l’armée musulmane se prépara à partir sans délai. C’est peut-être à cette occasion qu’Usaid bin Hudair Ansari, chef renommé de la tribu des Aus, se présenta devant le Saint Prophète (s.a.w.) et demanda : « Ô Messager d’Allah ! Vous ne partez habituellement pas à cette heure de la journée. Que s’est-il passé aujourd’hui ? » Le Saint Prophète (s.a.w.) répondit : « Usaid ! N’as-tu pas entendu les paroles d’Abdullah ibn Ubayy ? Il dit : « Une fois arrivée à Médine, la personne la plus honorable chassera la personne la plus méprisable. » Usaid (r.a.) répondit spontanément : « En vérité, Ô Messager d’Allah, vous pouvez certainement chasser Abdullah de Médine. Par Allah ! Vous êtes le plus honorable et c’est lui le plus méprisable. » Ensuite, Usaid (r.a.) poursuivit :
« Ô Messager d’Allah ! Vous savez que, avant votre arrivée, Abdullah ibn Ubayy était très respecté parmi son peuple, et ils étaient sur le point de l’accepter comme roi, mais tout cela s’est réduit en poussière à votre arrivée. C’est pour cette raison que son cœur nourrit de la jalousie envers vous. Ne prêtez pas attention à ses absurdités et pardonnez-lui. »
(La vie et le caractère du Sceau des Prophètes (s.a.w.), Vol. 2, pp. 428-431)
Abdullah bin Ubayy bin Sulul déshonoré par son propre fils
Sa Sainteté (a.b.a.) a partagé que lorsque le fils d’Abdullah ibn Ubayy apprit tout cela ainsi que les paroles d’Hazrat Oumar (r.a.), il se rendit auprès du Saint Prophète (s.a.w.) et dit que s’il avait l’intention de faire tuer Abdullah ibn Ubayy, il devait lui en donner l’ordre et il lui apporterait sa tête. Cependant, comme il aimait profondément ses parents, il craignait que si quelqu’un d’autre recevait l’ordre de tuer son père, il ne pourrait supporter de le voir vivre sans l’éliminer et ainsi tomber en enfer. Le Saint Prophète (s.a.w.) lui répondit qu’il n’avait pas l’intention de tuer Abdullah ibn Ubayy et ne l’avait pas ordonné. Au contraire, le Saint Prophète (s.a.w.) dit qu’ils le traiteraient avec bonté. Le fils d’Abdullah ibn Ubayy déclara que même si avant l’arrivée du Saint Prophète (s.a.w.) à Médine, Abdullah ibn Ubayy était destiné à devenir le chef de Médine, le leadership du Saint Prophète (s.a.w.) avait élevé le peuple de Médine.
Le Saint Prophète (s.a.w.) entreprit son voyage de retour vers Médine. Il voyagea durant toute la soirée et la nuit, jusqu’au matin. Durant tout le trajet, personne ne descendit de monture, sauf pour répondre à un besoin naturel ou pour accomplir la prière. Le Saint Prophète (s.a.w.) entreprit ce long voyage afin que les gens oublient ce qu’Abdullah ibn Ubayy avait dit la veille. Hazrat Zaid (r.a.) chevauchait derrière le Saint Prophète (s.a.w.). Lorsque la monture du Saint Prophète (s.a.w.) ralentissait, il lui donnait un coup de talon pour l’accélérer. Alors qu’il chevauchait, le Saint Prophète (s.a.w.) reçut une révélation, et une fois celle-ci terminée, il informa Hazrat Zaid (r.a.) qu’Allah le Tout-Puissant avait confirmé qu’il disait la vérité.
Après la réception de cette révélation par le Saint Prophète (s.a.w.), deux compagnons (r.a.) rencontrèrent Abdullah ibn Ubayy et le réprimandèrent sévèrement pour son comportement. Ils l’informèrent qu’Allah avait révélé que Zaid (r.a.) avait dit la vérité. Ils déclarèrent qu’ils ne prendraient plus jamais la défense d’Abdullah ibn Ubayy tant qu’il n’aurait pas changé d’attitude, car ils n’avaient auparavant pas cru Zaid (r.a.) à cause de lui, mais que la révélation venait de confirmer la tromperie d’Abdullah ibn Ubayy.
Sa Sainteté (a.b.a.) a cité Hazrat Mirza Bashir Ahmad (r.a.) qui écrit :
« Abdullah bin Abdullah bin Ubayy éprouvait une telle colère envers son père que, lors du retour de l’armée musulmane vers Médine, il se dressa devant lui et lui barra le passage, déclarant : « Par Allah ! Je ne te permettrai pas de revenir tant que tu n’auras pas confessé de ta propre bouche que le Saint Prophète (s.a.w.) est le plus honorable et que tu es le plus méprisable. » Abdullah pressa son père à tel point que celui-ci fut finalement contraint de prononcer ces mots, après quoi Abdullah le laissa partir. Lorsque le voyage de retour commença, le reste de la journée, toute la nuit et le début du jour suivant furent consacrés à une marche continue de l’armée musulmane. Lorsque le camp fut enfin établi, les soldats étaient tellement épuisés qu’ils s’endormirent profondément. Ainsi, grâce à la sagesse du Saint Prophète (s.a.w.), l’attention des gens fut détournée de cet incident désagréable et portée ailleurs pendant une période assez longue. De ce fait, par Sa grâce, Allah le Tout-Puissant protégea les musulmans des machinations des hypocrites. En réalité, les hypocrites avaient toujours cherché à provoquer une guerre civile et une division interne parmi les musulmans, et essayé d’abaisser la position du Saint Prophète (s.a.w.) à leurs yeux. Cependant, l’Islam et la personnalité magnétique du Saint Prophète (s.a.w.) avaient créé un tel lien d’unité parmi les musulmans qu’aucune conspiration ne pouvait le briser. De tels sentiments de respect et d’appartenance, de loyauté et de fidélité, d’amour et d’affection s’étaient enracinés dans le cœur des musulmans à l’égard du Saint Prophète (s.a.w.) qu’il était hors du pouvoir humain de les ébranler. Abdullah ibn Ubayy, chef des hypocrites, tenta de capitaliser sur un conflit temporaire entre deux musulmans ordinaires, et d’une certaine manière, de semer la graine de la dissension et de la discorde entre les musulmans, et de blesser l’amour et la crainte du Saint Prophète (s.a.w.). Cependant, il connut un échec total et fut contraint de boire le calice de l’humiliation de la main de son propre fils, d’une manière qu’il n’oublia peut-être jamais jusqu’à son dernier souffle. »
(La vie et le caractère du Sceau des Prophètes (sa), Vol. 2, p. 432)
Plus tard, le Saint Prophète (s.a.w.) dit à Hazrat Oumar (r.a.) que s’il avait ordonné le meurtre d’Abdullah ibn Ubayy lorsque Hazrat Umar (r.a.) l’avait suggéré, les gens se seraient détournés et auraient refusé. Cependant, maintenant, s’il ordonnait aux mêmes personnes de le tuer, ils le feraient sans hésiter, car la situation était devenue claire. Hazrat Oumar (r.a.) répondit qu’il comprenait que les opinions du Saint Prophète (s.a.w.) étaient bien plus bénies que les siennes.
Incident de la perte du chameau du Saint Prophète (sa)
Sa Sainteté (a.b.a.) a déclaré que durant ce voyage, le chameau du Saint Prophète (s.a.w.) se perdit. En chemin, le Saint Prophète (s.a.w.) s’était arrêté près d’un puits situé à environ quarante kilomètres de Médine. Les musulmans avaient laissé leurs animaux paître, mais une tempête fit perdre le chameau du Saint Prophète (s.a.w.). Les musulmans cherchèrent partout. Un hypocrite juif, qui simulait être musulman mais était en réalité toujours juif, nommé Zaid bin Lusait, demanda pourquoi tout le monde courait ainsi. Lorsqu’on lui répondit qu’ils cherchaient le chameau du Saint Prophète (s.a.w.), il demanda pourquoi Allah ne les informait pas de où il se trouvait. Les compagnons trouvèrent cela étrange et purent discerner son hypocrisie. Ils lui demandèrent pourquoi, s’il était un tel hypocrite, il avait entrepris le voyage avec eux. Il répondit qu’il avait accompagné les musulmans uniquement par appât du gain matériel. Il demanda à nouveau pourquoi Allah ne révélait pas simplement l’endroit où se trouvait le chameau. Les compagnons répondirent que s’ils avaient su qu’il nourrissait de telles pensées, ils ne l’auraient jamais autorisé à partir avec eux. Il s’enfuit et alla s’asseoir auprès du Saint Prophète (s.a.w.) pour se protéger. Cependant, Allah avait déjà révélé au Saint Prophète (s.a.w.) ce que cet hypocrite avait dit. Ainsi, le Saint Prophète (s.a.w.) déclara qu’un hypocrite était assis parmi eux, se réjouissant de la perte du chameau du Saint Prophète (s.a.w.) et s’étonnant qu’Allah ne révèle pas simplement l’endroit où se trouvait le chameau. Le Saint Prophète (s.a.w.) dit alors qu’Allah lui avait effectivement révélé l’emplacement du chameau : il se trouvait dans un passage un peu plus loin, les rênes accrochées à un arbre. Les compagnons se rendirent à cet emplacement et trouvèrent le chameau exactement comme le Saint Prophète (s.a.w.) l’avait décrit. L’hypocrite fut stupéfait. Il alla voir les compagnons et leur demanda s’ils avaient informé le Saint Prophète (s.a.w.) de ce qu’il avait dit. Lorsqu’ils lui répondirent qu’ils ne l’avaient pas fait, il déclara qu’après ce qu’il avait vu et le fait que le Saint Prophète (s.a.w.) ait retrouvé son chameau, il avait désormais compris la réalité et avait véritablement embrassé l’Islam ce jour-là. Il retourna ensuite auprès du Saint Prophète (s.a.w.) pour demander pardon.
Appel à la prière face aux atrocités commises contre les ahmadis au Bangladesh et au Pakistan
Sa Sainteté (a.b.a.) a appelé à la prière pour la situation au Bangladesh. La rébellion contre le gouvernement a mis une fin à leur pouvoir, mais le désordre persiste. On dit qu’il y a eu une légère amélioration depuis hier. Cependant, les opposants de la communauté ont profité de la situation pour attaquer les ahmadis. Nos mosquées ont été attaquées et incendiées, de même que la Jamia Ahmadiyya et d’autres bâtiments appartenant à la communauté ont été attaqués, vandalisés et incendiés. Certains ahmadis ont également été gravement blessés lors de ces violences. De nombreuses maisons ahmadies ont également été attaquées et incendiées. Certaines ont été complètement détruites par le feu et pour d’autres, les affaires s’y trouvant ont été brûlées. Le chaos règne et c’est la deuxième fois que les ahmadis sont confrontés à de telles difficultés. Pourtant, leur foi n’a pas vacillé le moins du monde. Ils sont fermes dans leur croyance et ont déclaré qu’ils endureraient cela pour l’amour d’Allah. Sa Sainteté (a.b.a.) a prié pour qu’Allah leur accorde Sa miséricorde et Sa grâce, qu’Il protège les ahmadis et qu’Il arrête leurs adversaires.
Sa Sainteté (a.b.a.) a également appelé à la prière pour les ahmadis du Pakistan où la situation s’aggrave. Sa Sainteté (a.b.a.) a prié pour qu’Allah les protège de tout mal. De nos jours, les clercs et d’autres personnes en quête de gain personnel continuent à machiner contre les ahmadis. Ils commettent des cruautés au nom d’Allah et de Son Messager (s.a.w.). Sa Sainteté (a.b.a.) a prié pour qu’Allah les punisse rapidement.
Sa Sainteté (a.b.a.) a aussi mentionné les musulmans de la Palestine et a prié qu’Allah arrête ceux qui commettent ces cruautés et qu’Il mette fin rapidement à ces atrocités.
Sa Sainteté (a.b.a.) a exhorté à prier pour le monde musulman en général, afin que les cruautés prennent fin. Que les musulmans puissent établir un véritable lien avec Dieu et reconnaître l’Imam du temps. Seul ce chemin les mènera à leur salut, mais ils n’en tiennent pas compte.
Prières funéraires
Sa Sainteté (a.b.a.) a annoncé qu’il dirigerait les prières funéraires in absentia des personnes suivantes :
Zakaur Rahman Shaheed
Dr Zakaur Rahman Shaheed a été récemment martyrisé. Le 27 juillet, deux individus non identifiés sont entrés dans sa clinique et ont ouvert le feu, causant son martyre. Les assaillants ont pris la fuite. Au moment des faits, son épouse assistait à la Jalsa Salana (Convention annuelle) au Royaume-Uni. Il a servi la communauté à divers titres, notamment en tant que président local. Il possédait de nombreuses qualités remarquables, notamment celle d’être à l’avant-garde des contributions financières. Il avait toujours le sourire aux lèvres et une passion pour le service de l’humanité. Il traitait souvent les pauvres gratuitement. Il était respecté par les non-ahmadis et certains ont même assisté à ses funérailles. Il laisse dans le deuil son épouse, un fils et trois filles. Sa Sainteté (a.b.a.) a prié pour qu’Allah élève son rang, accorde de la patience à sa famille et permette à ses enfants de perpétuer l’héritage de ses vertus.
Sayyidah Bashir
Sayyidah Bashir, épouse de Malik Bashir Ahmad, est récemment décédée. Elle laisse dans le deuil un fils et deux filles. Son fils, Malik Ghulam Ahmad, missionnaire au Ghana, n’a pas pu assister à ses funérailles en raison de ses obligations. Elle eut la chance de passer du temps avec Hazrat Nusrat Jahan Begum (r.a.) (épouse bénie du Messie Promis (a.s.)). Orpheline, elle fut élevée grâce à la bienveillance de Hazrat Nusrat Jahan Begum (r.a.) et du Second Calife (r.a.). Elle éprouvait un profond amour pour le Khilafat. Elle écoutait très attentivement les sermons. Elle n’a jamais parlé à voix haute et a également empêché ses enfants de parler de cette façon. Autre que ce bon comportement, elle a instillé l’amour pour le Califat et l’Ahmadiyyat dans le cœur de ses enfants. Elle faisait beaucoup de supplications et s’est toujours préservée de l’amour des choses mondaines. C’était une femme exemplaire. Sa Sainteté (a.b.a.) a prié qu’Allah lui accorde le pardon et la miséricorde et permette à ses enfants de perpétuer l’héritage de ses vertus.
Résumé préparé par La Revue des Religions
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